Month: juillet 2016

Tenir bon

Après avoir atteint le sommet du Dog Tooth Peak dans la forêt nationale de la Sierra Nevada, Larry a entamé la descente. Chemin faisant, il est tombé et a atterri sur un mince rebord de granit. Il s’est accroché à la paroi de la montagne (pour éviter de faire une chute de 3 000 mètres), pendant 52 heures avant d’être secouru. Finalement, un membre d’une équipe de sauvetage est venu chercher Larry au péril de sa propre vie.

Accompagner

Ses trente compagnons de classe et leurs parents ont regardé Mi’Asya monter nerveusement sur le podium pour s’adresser à l’auditoire réuni à l’occasion de la remise des diplômes des élèves de cinquième année du primaire. Lorsque le directeur a ajusté le microphone à la hauteur de Mi’Asya, elle y a tourné le dos ainsi qu’à l’auditoire. La foule lui a alors murmuré des paroles d’encouragement : « Allons, ma chérie, tu peux y arriver ! » Mais elle n’a pas bougé d’un cheveu. C’est alors qu’une compagne de classe s’est avancée pour se tenir à côté d’elle, avec le directeur de l’autre côté. Puis les trois ont lu le discours ensemble. Quel superbe exemple de soutien !

Des rêves différés

Larry Carter était surpris de voir à quel point la capacité des enfants à rêver avait pu changer en seulement quelques décennies. Lorsqu’il était jeune, l’entraîneur de son équipe de baseball avait demandé à ses joueurs s’ils rêvaient de devenir joueurs de baseball professionnels. Presque tous les garçons avaient levé la main. Son entraîneur leur avait dit que s’ils souhaitaient réaliser ce rêve, ils allaient devoir travailler fort dès maintenant. Cette déclaration avait été si inspirante que les joueurs s’étaient exercés et avaient joué intensément, ce qui leur avait valu quelques saisons parfaites.

Joignez votre voix au cri

Un groupe de femmes de prière de mon pays se réunit chaque mois afin de prier pour le Ghana et d’autres pays d’Afrique. Interrogée sur les raisons de leurs prières incessantes pour les nations, leur directrice Gifty Dadzie a répondu : « Regardez autour de vous, écoutez les actualités. Nos nations souffrent : la guerre, les catastrophes, les maladies et la violence menacent d’éclipser l’amour de Dieu pour l’humanité et ses bénédictions envers nous. Nous croyons que Dieu intervient dans les affaires des nations, si bien que nous le louons pour ses bénédictions et implorons son action. »

Faire équipe

Les fines gouttelettes qui ruisselaient sur notre pare-brise se sont transformées en pluie intense alors que nous roulions. Mon mari a actionné les essuie-glaces puis les a subitement arrêtés. Il a répété ce processus jusqu’à ce que je le regarde d’un air interrogateur. Il m’a alors expliqué que l’essuie-glace du côté du passager n’était plus synchronisé avec celui du côté du conducteur. S’il les laissait en marche trop longtemps, ils finiraient par s’entrechoquer.

S’attendre à Dieu

J'étais à bord d’une navette aéroportuaire à destination de mon vol de correspondance quand on a demandé au conducteur de « rester sur place ». Tout semblait indiquer que nous allions manquer notre vol, ce qui excédait un certain passager. Il s’en est donc pris au chauffeur, exigeant que celui‑ci fasse fi des ordres reçus « sous peine d’être traîné en justice ». C’est alors qu’un employé de la compagnie aérienne est arrivé à la course, un porte-documents en main. Devant l’homme outré, l’employé a brandi le porte-document d’un air triomphant. Après avoir repris son souffle, il a déclaré : « Vous avez oublié votre portedocuments. Je vous ai entendu dire combien votre réunion était importante, et je me suis dit que vous en auriez besoin. »

Attention à l’indolence !

L’indolence est l’un des plus grands dangers qui guettent les personnes souffrant d’allergie grave. J’en suis un parfait exemple. Il y a dix ans, j’ai failli perdre la vie à cause d’une allergie grave au latex. Croyez-moi, il est terrifiant de se voir soudainement gonfler comme un ballon et de ne plus pouvoir respirer. Puis, dix ans ont passé, et j’ai oublié à quel point une réaction allergique peut être critique.

Venez faire votre pause

Lorsque j’étais enfant, notre famille allait tous les mois de l’Ohio en Virginie occidentale pour rendre visite à mes grands‑parents. Chaque fois que nous nous présentions à sa porte, grand-maman Lester nous accueillait ainsi : « Entrez faire une pause. » C’était sa façon de nous inviter à faire comme chez nous, à rester un instant et à échanger des « nouvelles ».

Plutôt curieux

Sans moi vous ne pouvez rien faire.

Abandonnée dans le froid

En désespoir de cause, une femme a téléphoné au centre d’aide au logement où je travaillais. Un problème de chauffage avait transformé la maison qu’elle louait en congélateur meublé. Paniquée, elle m’a demandé comment prendre soin de ses enfants en pareille situation. Je me suis empressée de lui offrir une réponse sortie du manuel : « Allez à l’hôtel et envoyez la note au propriétaire. » Elle m’a alors raccroché au nez en colère.